La recherche

La recherche

Soucieux de s’inscrire dans le volet de la recherche, le Cégep compte sur plus de 20 programmes de formation auxquels s’ajoutent deux centres de transfert technologique dédiés à la recherche appliquée et au soutien économique régional. Fort de ses infrastructures, notamment des laboratoires de recherche à la fine pointe de la technologie, et de son capital intellectuel, soit  un potentiel de quelque 300 professeurs, il est confiant de pouvoir mener à terme des projets de recherche qui façonneront le monde de demain.

D’autres éléments rendent aussi l’environnement propice à la recherche. Différents centres de recherche universitaire et de haute technologie se sont aussi développés à proximité du Cégep, notons principalement celui rattaché à la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal, le complexe de la Cité de la biotechnologie agroalimentaire, vétérinaire et agroenvironnementale, l’Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA) et d’autres. 

HISTORIQUE DE LA RECHERCHE

La recherche au Cégep de Saint-Hyacinthe est à la fois récente et pourtant déjà préexistante à son avènement. 

  • Pour la partie récente, indiquons que sur le plan institutionnel, depuis le plan stratégique de 1996 intitulé : Un plan de développement pour entrer dans le XXIe siècle, cette dimension de la recherche a su mobiliser un personnel venant de différents horizons, notamment des enseignants et des membres de la direction. L’un de ses principaux objectifs stratégiques était : « Soutenir les projets de recherche en pédagogie ». Cette action se concrétisa essentiellement par la présentation de demandes de subvention auprès du ministère de l’Éducation. 
  • Par la suite, le conseil d’administration du Cégep adopta le 28 mai 2003 une Politique institutionnelle de la recherche, pour donner suite à un élément important de son Plan stratégique 2001-2005 où le Collège s’engageait à « favoriser les activités de recherche dans le but d’offrir et de mettre en œuvre des programmes d’études de qualité, cohérents, pertinents et adaptés ». 
  • Subséquemment, de tels éléments furent repris et accentués dans les trois autres plans stratégiques élaborés depuis, ceux de 2005-2010, de 2010-2015 et de 2015-2020. Il était du reste reconnu que la recherche au Collège s’avérait une voie privilégiée également pour actualiser son Projet éducatif. Aussi, dans sa Politique sur la recherche, le Collège affirmait:

« La recherche fait partie de la mission du Collège et, de façon plus explicite, de la mission de ses centres collégiaux de transfert technologique. Le Collège entend assurer un leadership dans l’exercice de ce volet de sa mission pour lui permettre de continuer de donner une formation de qualité et de contribuer au développement et à l’innovation, notamment, dans les domaines pédagogiques, scientifique, technologique, social et culturel. »

Le Cégep continue ainsi d’y affirmer résolument la volonté institutionnelle de « soutenir les projets de recherche du Collège et de ses constituantes », les deux centres de transfert technologique, le Groupe CTT (Centre des technologies textiles) et Cintech agroalimentaire : 

  • Le Collège entendait au départ, à la fois soutenir l’innovation pédagogique dans l’enseignement et l’innovation technologique dans la recherche appliquée. Ces deux missions étaient conciliables. Dans ce contexte, il présenta 
    • une demande d’accréditation auprès du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) afin de pouvoir présenter d’importantes demandes de subventions de recherche; celle-ci fut acceptée en 2005, et le Cégep devint alors le troisième collège au Québec à en obtenir l’accréditation. 
    • et, également, une demande d’accréditation auprès du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) en 2013; celle-ci fut également agréée. Cet outil allait permettre le développement de la recherche en sciences humaines au Cégep.
  •   Résolument campé dans son engagement à s’inscrire activement dans le créneau de la recherche et à y soutenir les projets de recherche appliquée et ceux en sciences humaines, le Cégep s’est employé à mettre en place des mesures favorisant l’implication de ses enseignants et de ses étudiants dans les activités de recherche.

Par son appui à la recherche, le Collège témoigne de son engagement à faire de ses CCTT des pôles d’excellence dédiés à la recherche technologique afin de modeler le futur des entreprises canadiennes en fonction des expertises qui lui sont reconnues, et de favoriser l’émergence de nouveaux savoirs propres à être enseignés dans les collèges et les universités.

ORGANISMES SUBVENTIONNAIRES

Au fil des ans, dans sa courte histoire, les chercheurs du Cégep de Saint-Hyacinthe ont pu faire appel à différents organismes subventionnaires pour soutenir leurs recherches. 

  • Dans les années 80 et 90 des chercheurs du Cégep ont bénéficié de subventions à la recherche d’un organisme gouvernemental québécois, le FCAR (Fonds pour la formation des chercheurs et l’aide à la recherche) qui devint, à la suite de la publication, le 25 janvier 2002, de la Politique québécoise de la science et de l’innovation, le Fonds québécois de la recherche sur la nature et les technologies (FQRNT), puis, par la suite, le FRQNT. Sous cette nouvelle appellation des chercheurs et des étudiants du Cégep ont pu bénéficier de soutien financier pour leurs recherches et pour la conduite de leurs stages de recherche.
  • Deux autres programmes du Gouvernement du Québec ont permis à des chercheurs du Collège de déployer leur talent de chercheur, ainsi qu’aux chercheurs des deux CCTT du Collège, soit les programmes PART (Programme d’aide à la recherche et au transfert) et PAREA (Programme d’aide à la recherche sur l’enseignement et l’apprentissage). Les subventions PART accordées au Collège ont été fort nombreuses au cours des dernières années et concernent davantage la recherche appliquée. Les subventions PAREA ont permis de soutenir un projet d’envergure d’une enseignante en Techniques d’éducation à l’enfance, Julie-Lyne Leroux.
  • Dans le domaine québécois, la Fondation Lucie et André Chagnon, dont la mission porte sur la prévention de la pauvreté par la réussite éducative, a permis de soutenir un important projet en ce sens sous l’égide de Lise Tétreau du programme de Techniques d’éducation à l’enfance, lequel projet, en collaboration avec l’UQAM, présentait une composante de recherche.

Dans le cadre des Projets de collaboration université-collège, un autre projet développé encore une fois sous la responsabilité de Lise Tétreau avec comme partenaire l’UQTR, a été mis en œuvre. Il s’intitulait : Transfert de connaissances et d’applications pratiques psychosociales.

  • Dans le cadre également du programme de Regroupement stratégique du « Fonds de recherche du Québec volet Nature et technologie » (FRQNT), le Cégep participe depuis 2012 à un projet sur les maladies infectieuses du porc en faisant appel à un étudiant supervisé par une enseignante de biologie, Maryse Boucher. Le projet est d’une durée totale de sept ans. Le 29 mai 2017, du reste, le Collège a aussi été l’hôte du CRIPA (Centre de recherche en infectiologie porcine et aviaire) pour son symposium international et une remise de prix a été faite à des étudiants méritants par le représentant de la recherche au Collège.
  • En outre, le Collège a pu bénéficier à l’été 2017 de deux bourses du FRQNT (Fonds de recherche du Québec – Nature et Technologie), d’une valeur de 5 000 $ chacune, pour l’embauche de deux étudiants en Sciences de la nature pour collaborer à un important projet de recherche de la FMV en santé publique visant à contrer la prolifération de la maladie de Lyme en Montérégie.
  • Des enseignants chercheurs du Cégep, notamment en Mécanique du bâtiment, en textile et en hygiène dentaire, ont bénéficié d’un soutien financier appréciable pour la publication de leurs travaux de recherche de la part du CCDMD (Centre collégial de développement de matériel didactique) du MESR.
  • Des enseignants chercheurs ont aussi pu bénéficier de soutien financier pour leur permettre d’aller exposer les résultats de leurs travaux de recherche à l’étranger, et ce, dans le cadre du programme, aujourd’hui aboli, du PSCCC (Programme de soutien aux chercheurs et aux chercheuses du collégial).
  • C’est du côté du Gouvernement du Canada cependant que les fonds attribués au Cégep ont été les plus importants. Ainsi, depuis 2009, le Cégep a reçu cinq subventions de 2,3 M$ chacune pour soutenir d’importants projets de recherche avec les CCTT du Cégep et l’industrie. Les projets mis en œuvre l’étaient dans le domaine des textiles intelligents et de l’agroalimentaire. Ces subventions ont été accordées dans le cadre du programme ICC (Initiative dans les collèges et la communauté) du CRSNG. 
  • Le CRSNG a également mis en place différents autres programmes, notamment le programme RDA (Recherche et développement appliqués) où le Collège a fait très bonne figure en y obtenant près d’une cinquantaine de subventions jusqu’ici dont les montants s’échelonnent de 25 000 $ à 225 000 $.

Le Cégep a également obtenu du CRSNG trois subventions OIRA (Outils et instruments de recherche appliquée) de 150 000 $ chacune.

  • Le Collège est également accrédité par le CRSH (Conseil de recherches en sciences humaines du Canada) et, en partenariat avec d’autres institutions collégiales, a obtenu sa première subvention en 2016.
  • L’arrivée de la FCI (Fondation canadienne pour l’innovation) et de la contrepartie du MELS (ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport), aujourd’hui le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de la Science (MESRS), ont eu une influence déterminante pour recentrer plus résolument les CCTT du Collège dans leur mission de recherche plus fondamentale. Pendant dix ans, par exemple, de 1990 jusqu’en 2000, des subventions de base, issues du Programme de mise en valeur des technologies d’Industrie Canada permettaient d’assumer une portion très importante des salaires du personnel de recherche des CCTT. 

La mise en œuvre de projets de recherche appliquée nécessitait le recours à une infrastructure de recherche de haute qualité. L’avènement de la Fondation canadienne de l’innovation (FCI) en 1997 allait contribuer à doter les CCTT du Collège d’équipements de laboratoire à la fine pointe de la modernité. À ce jour, par exemple, le Cégep de Saint-Hyacinthe est le collège canadien ayant bénéficié le plus de projets d’envergure en matière d’infrastructure de recherche en raison de l’appui de la FCI. Ainsi, une douzaine de projets, dont un projet pour un nouveau bâtiment regroupant plusieurs laboratoires en textiles techniques innovants de quelque 6 M$ ont pu se réaliser depuis l’année 2000. L’effet structurant de la FCI a servi de levier pour permettre la mise en œuvre d’actions concertées visant à appuyer la recherche au Collège et a influencé grandement l’élaboration des récents plans stratégiques du Collège. Sans nul doute que le crédit institutionnel en termes de reconnaissance obtenue grâce à l’appui de la FCI aura contribué, de façon significative, à faciliter par la suite l’obtention d’importantes subventions du CRSNG dans le cadre de son programme d’Innovation dans les collèges et la communauté (ICC) mis en place il y a quelques années.

ÉVOLUTION DES PROJETS SOUTENUS PAR LE FONDS DE DÉVELOPPEMENT DU CÉGEP

Parmi les actions susceptibles d’encourager des chercheurs néophytes du Collège à s’initier au domaine de la recherche, il en est une que l’on peut qualifier de structurante. À cet effet, le conseil d’administration du Collège, en avril 2011, a réactualisé un Fonds de développement de quelque 250 000 $ pour permettre au Collège de mieux asseoir sa mission complémentaire, soit la recherche. La mission du Fonds de développement s’énonçait ainsi :

« Favoriser la capacité d’innovation des membres du personnel, essentiellement par le soutien à des projets de recherche, la mise en place de procédés innovants et le renouvellement de la pratique pédagogique par l’innovation et l’expérimentation. »

Avec la mise en place d’un tel fonds, le Collège estimait que cela créera une forte dynamique institutionnelle autour de la recherche et de l’innovation, permettra aussi la constitution de portfolio de recherche pour de jeunes chercheurs, et assurera la relève parmi de tout jeunes chercheurs.

De plus, pour donner la meilleure assistance possible à des chercheurs en devenir, le Collège, crée en juin 2011 un poste régulier de conseiller à la recherche : animation auprès du personnel et soutien en vue de la réalisation de projets de recherche. En plus d’assurer une veille stratégique sur la recherche, il agit comme conseiller auprès de la direction quant aux décisions à prendre en matière de recherche et d’innovation.

2012-2013

  1. Télévision étudiante. Projet estimé à 20 000 $; 
  1. L’Éducation somatique : Des innovations pédagogiques méconnues. Projet estimé à 18 000 $;
  1. Une approche connectiviste dans l’enseignement de l’anglais : la création d’activités d’apprentissage collaboratives sur le web. Projet estimé à 18 000 $.

2013-2014

  1. Manuel scolaire en sociologie de la santé. Projet estimé à 40 000 $;
  1. Cours terrain à l’international dans le cadre du cours « Initiation à l’histoire de la civilisation occidentale ». Projet estimé à 20 000 $.

2014-2015

  1. Projet innovant en nutrition clinique. Projet estimé à 20 000 $; 
  1. Formation co-curriculaire en recherche et innovation. Projet estimé à 22 000 $; 
  1. Analyse des opportunités pédagogiques et environnementales associées à l’optimisation de la connectivité du Cégep de Saint-Hyacinthe. Projet estimé à 20 000 $. 

2015-2016

  1. Expérimentation pédagogique en mathématique avec une tablette PC. Projet estimé à 5 200 $.

2016-2017

  1. Banque de scènes en Interprétation théâtrale.

Projet estimé à 10 500 $;

  1. Centre d’expertise en recherche-action et formation sur mesure dans le domaine de l’intégrisme religieux. Projet estimé à 19 500 $;
  1. Impact économique du Cégep de Saint-Hyacinthe sur son environnement local. Projet estimé à 11 362 $;
  1. Lexique français-anglais dans le domaine de la production théâtrale. Projet estimé à 11 500 $;
  1. Serre solaire passive. Projet estimé à 19 500 $.

2017-2018

  1. Maintien de la participation au CEFIR (Centre d’expertise et de formation sur les intégrismes religieux et la radicalisation). Projet estimé à 19 500 $;
  1. Guide de références essentielles pour le théâtre. Projet estimé à 17 250 $;

Mise en place d’un programme de recherche et premier terrain ethnographique visant la rédaction d’un atlas du Haut Atlas Marocain en collaboration avec Professeur Mohammed Lamli de l’Université Sultan Moulay Slimane, Beni Mellal, Maroc. Projet estimé à 2 739 $.

ÉVOLUTION DES PROJETS DE RECHERCHE APPLIQUÉE

Dans son Plan stratégique 2010-2015, qui donne véritablement son élan à la recherche, le Cégep énonce deux indicateurs de performance pour l’atteinte de ses objectifs de recherche, soit le nombre de projets de recherche appliquée et le nombre d’étudiants impliqués dans des projets de recherche, avec pour cibles : 10 projets et 100 étudiants.

Le tableau suivant représente les principaux indicateurs rattachés aux projets de recherche depuis l’année 2007-2008.

AnnéesNombre de projets en  coursNombre de nouveaux projetsNombre d’enseignantsNombre d’étudiants
2007-20089910
2008-200914720
2009-201013549
2010-2011161179
2011-201214121323
2012-201325212124
2013-201429252344
2014-201540241725
2015-201657101338
2016-20176314955

FAITS MARQUANTS

Colloque de l’ARC

En 1998, le Cégep de Saint-Hyacinthe était l’hôte du XIe colloque de l’ARC (Association pour la recherche au collégial) qui connut un vif succès. Au terme de ce colloque, un enseignant chercheur en textile, Gérard Lombard, s’est vu remettre le grand prix de l’ARC visant à souligner sa contribution exceptionnelle au développement de la recherche. 

Prix d’excellence à Olivier Vermeersch

En mars 2014, Olivier Vermeersch, ancien enseignant en textile au Collège et, depuis, chercheur au GCTT, s’est vu remettre le tout premier prix d’excellence créé par les Fonds de recherche du Québec pour le volet Nature et technologies. Cette distinction venait souligner son apport magistral au développement et à la gestion de projets de recherche sur la scène québécoise, nationale et internationale.

Biennale Science on Stage

En juin 2014 se tenait au Cégep de Saint-Hyacinthe la 4e biennale de Science on Stage, sous la responsabilité, pour la partie québécoise, d’une enseignante en biologie, Huguette Thibeault. Des enseignants chercheurs de différents pays venaient y présenter des conférences et partager leur expérience de chercheur avec leurs collègues et les étudiants présents. Ceux-ci pouvaient ainsi se familiariser avec la recherche appliquée.

Le Cégep en 2e position dans le Canada’s Top 50 Research Colleges 2015 

Dans le palmarès « Canada’s Top 50 Research Colleges 2015 » établi par l’organisme national indépendant « Research Infosource Inc. », le Cégep de Saint-Hyacinthe a obtenu le second rang parmi tous les collèges du Canada qui font de la recherche, et a été consacré le premier collège pour le Québec pour le plus grand nombre d’activités (significatives) de recherche. Les activités de recherche du Cégep de Saint-Hyacinthe ont été essentiellement effectuées dans les deux centres collégiaux de transfert technologique qui lui sont affiliés, le Groupe CTT et Cintech agroalimentaire. Cette reconnaissance nationale a valu au Cégep un article dans l’un des principaux quotidiens au Canada, The Globe and Mail, qui compte par ailleurs un lectorat important dans le monde. L’article faisant état des faits d’armes du Cégep dans le domaine de la recherche était signé par la journaliste scientifique réputée Marlene Habib.

Colloque Innovia 2015 à Saint-Hyacinthe

Dans le domaine de la reconnaissance publique, un autre événement est venu souligner la qualité de la recherche chez Cintech agroalimentaire, alors que se tenait en sol maskoutain un premier colloque faisant appel à des sommités mondiales venues célébrer l’innovation dans l’industrie agroalimentaire. La tenue de ce colloque « Innovia 2015 » a été l’occasion pour Cintech d’y présenter deux projets d’envergure où sont impliqués des étudiants et des professeurs du Cégep : Valorisation de sous-produits alimentaires et Lumière pulsée. Une émission radiophonique de Radio-Canada s’en est fait l’écho dans les jours suivants le Colloque. Une autre émission, à Télé-Québec, Le Code Chastenay, consacra un segment de l’émission au projet de Lumière pulsée.

Deux étudiants au Congrès de l’ACFAS

Il faut souligner la contribution exceptionnelle de deux étudiants, Gabriele Sarti, étudiant en Techniques de l’informatique, et Anthony Michon, étudiant en Sciences de la nature, qui ont été sélectionnés par un comité scientifique pour livrer une communication dans le cadre d’un colloque portant sur les « Enjeux de la recherche » lors du 84e Congrès de l’ACFAS qui s’est tenu à l’UQAM du 9 au 13 mai 2016. 

Le Cégep en 1re position dans le Canada’s Top 50 Research Colleges 2016 

Dans le palmarès « Canada’s Top 50 Research Colleges 2016 » établi par l’organisme national indépendant « Research Infosource Inc. », le Cégep de Saint-Hyacinthe s’est classé au premier rang parmi tous les collèges du Canada de par le volume de ses activités de recherche. Les activités de recherche du Cégep de Saint-Hyacinthe ont été essentiellement effectuées dans les deux centres collégiaux de transfert technologique qui lui sont affiliés, le Groupe CTT et Cintech agroalimentaire. 

Par ailleurs, dans un autre volet de ce palmarès des collèges, le Cégep de Saint-Hyacinthe s’est classé au second rang pour tout le Canada pour le nombre total d’étudiants collégiaux impliqués en recherche. En 2016-2017 un nombre plus élevé d’étudiants ont été impliqués dans des projets de recherche, soit 55 étudiants.

Les co-responsables de la recherche ont aussi participé à une journée d’échanges sur la recherche organisée par la Fédération des cégeps à Québec.

Inauguration du CEFIR

Le responsable de la recherche a participé à l’inauguration du CEFIR (Centre d’expertise et de formation sur les intégrismes religieux et la radicalisation) le 13 octobre 2017. Le Cégep participe aux travaux de recherche de ce centre avec trois autres institutions collégiales. 

Entrevues à Radio-Canada

Dans le cadre de l’une des émissions radiophoniques phare de Radio-Canada Les Éclaireurs, le 17 janvier 2017, Olivier Vermeersch du Groupe CTT a donné une entrevue portant sur le développement des textiles techniques et innovants.

Dans le cadre d’une autre de ces émissions de Radio-Canada, le 8 mars 2017, Jean-Yves Lecompte de Cintech agroalimentaire a fait part des travaux de recherche réalisés avec la collaboration du Cégep sur l’alimentation santé.

Expo-Hightex

Les 4 et 5 avril 2017 s’est tenue une autre édition d’Expo-Hightex, événement majeur de réseautage avec le monde de l’industrie pour le Groupe CTT et, à cette occasion, le responsable de la recherche a remis des prix au nom du Cégep aux membres fondateurs de la première chaire de recherche industrielle du CRSNG du Cégep de Saint-Hyacinthe.

Cinq étudiants à l’ACFAS

Contribution exceptionnelle de cinq étudiants, qui, sous la supervision de leur professeur de physique et mentor exceptionnel, Daniel Puche, ont été invités à participer à un concours d’affiches scientifiques, et ce, dans le cadre du congrès de l’ACFAS (Association francophone pour le savoir) qui s’est tenu en 2017 à l’Université McGill. Ils ont eu également à livrer une communication publique sur leur sujet de recherche devant un panel d’experts et d’amis des sciences.

Avec la collaboration de Marc Leclerc