Le 5 juillet 1971, adoption par le Conseil d’administration d’une résolution acceptant le principe de la régionalisation avec trois campus : SaintHyacinthe, Drummondville, Sorel-Tracy
En août, le campus de Saint-Hyacinthe se prépare à offrir cours et services dans de nouveaux locaux répartis entre plusieurs pavillons :
Grand Séminaire rue Pratte (Pavillon des Humanités),
chez les Maristes (Pavillon de la Philosophie),
École des textiles (Pavillon des Sciences),
Centre Notre-Dame rue Dessaules pour les cours d’éducation physique (Pavillon de l’Éducation Physique); le 20 décembre 1971, le Centre Notre- Dame est détruit complètement par un incendie; les cours sont déménagés chez les Maristes,
Centre de Formation Professionnelle (CFP) pour les cours de l’Option Théatre,
Petit Séminaire, certains services demeurent temporairement, dont la bibliothèque.
À la suite d’un concours pour déterminer le nom du collège régional, 108 noms ont été proposés. Le concours fut remporté par René Jetté, professeur d’histoire au Cégep de Saint Hyacinthe. Le 9 décembre 1971, adoption d’un Arrêté en conseil du Gouvernement autorisant le changement de nom du Cégep Saint Hyacinthe en celui de « Collège régional de Bourgchemin » pour désigner le Cégep régional récemment formé. La particule « de » est enlevée en janvier 1972. Ce nom fut retenu à la suite d’une étude effectuée par M. Jean-Charles Bonenfant, curateur du Musée provincial du Québec, sur le contexte historique et géographique qui sous-tendent les propositions.
Logo Cégep Bourgchemin
Autorisation de la DGEC à dispenser les 3 années du programme de Techniques de laboratoire médical
Le 20 décembre 1971, le Pavillon d’Éducation Physique du Cégep (Centre Notre-Dame) est rasé par les flammes.
Le 9 février 1972, constitution du Collège régional Bourgchemin
Devant Cégep Bourgchemin
Le 12 avril 1972, établissement de la Commission pédagogique du Cégep régional
Le 26 avril 1972, lettres patentes supplémentaires du Collège d’enseignement général et professionnel Bourgchemin : le collège reçoit le document officialisant son nouveau nom.
Au cours de l’année, signature d’une lettre d’entente locale de reconnaissance du Syndicat étudiant comme représentant officiel de tous les étudiants